Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 18:53

Changement de point de vue, bienvenue dans le corps de Hayley !

 

J'avais mal, partout, mon corp me faisait mal, ma tête aussi, et je tentais de me rappeler pourquoi je me sentais comme une loque, puis peu a peu ca me revint, Jeff il m'avait bloqué contre un mur, avait réussi à ce libérer, et ensuite m'avait frappé un nombre incalculable de fois jusqu'a ce coup au visage qui me fit perdre connaissance. 

Pourquoi n'étais je juste pas morte ? Je n'étais clairement plus son type, je ne suis pas une gamine de 14 ans... 

Il était là, Jeff juste debout a coté de moi, il avait un regard étrange, il regardait mon corps, pourtant encore vetu, qu'avait -il en tête. 

-Bien tu te réveil, bonjour Hayley, bien dormi... 

Je poussais un gémissement ca voix était trop forte et mon mal de tête était affreux. 

-Tu avais s'en doute raison tout à l'heure, je suis un pervers, mais pas un pédophile, enfin pas cette fois, j'ai ramener une femme chez moi. 

Il parlait trop vite je ne comprenais pas de quoi il me parlait. 

-Toi Hayley, tu as 18 ans n'est ce pas. 

Il me repoussa au sol alors que j'essayais de me mettre en position assise, il déchira mon t-shirt mais laissa les lambeaux recouvrir mon corps, puis recula et vérifia le travail ca semblait lui plaire vu qu'il prit une photo, je fis mine de me cacher et il rigola. 

-Tu vois quand tu veux, tu peux être un bon modèle. 

Il déposa son appareil photo a coté d'un pied d'estale ou reposait un caméscope. Il suivit mon regard vers l'engin. 

-Ne t'inquiète pas trop tu seras surement parfaite sur la vidéo aussi. Je suis content d'avoir tout ce matériel tu pourras aussi en profiter (*1)

Il se mit à qualifourchon sur moi, en rigolant, je me débattais mais il était bien plus grand que moi, si j avais eu le dessus jusqu'alors c'est bien parce que je l'avais drogué, mais lui n'avait absolument pas besoin de ça. Il me mit un coup dans le ventre qui me fit perdre la respiration. 

-J'aime beaucoup quand tu trémousse en dessous de moi, mais je crois que pour ta première fois avec moi, il vaudrait mieux que tu sois calme, je suis bien monté je voudrais pas te faire trop mal. (*2)

Il disait ça mais son regard ne semblait pas vouloir dire je ne veux pas te faire mal, il semblait juste vouloir dire je vais te baiser fort. 

-AU SECOURS. 

Criais -je de peur, tout en me débattant encore un peu, mais moins qu'avant, je n'étais pas motivé pour un autre coup, ni pour plus de douleur. 

Il rit, encore il se moquait de moi. 

-Rappelle toi que c' est toi même qui avait choisi ce jour parce que tous mes voisins sont partis. 

Et la peur en moi monta encore d'un cran, et ce juste au moment ou il arracha ce qu'il restait de mon t-shirt. Il ne fit pas grand cas de mon soutif qui parti vite et fini loin. 

Il se releva encore une fois observant mon corps et ma réaction il prit une autre photo alors que je regardais partout sauf vers lui, je voulais fuir son regard et ne pas penser au futur. 

Il glissa sa main, chaude sur mon corps froid, il la fit descendre sur mon ventre plat, le caressa lentement. 

-Tu seras sage n'est ce pas ? tu ne vas pas m'obliger à te faire mal. 

Et comme une gamine je pleurais, en fin de compte peut etre que je l'étais encore, une gamine de 14 ans, effrayé, appeuré, sur le point de se faire violé, c'est peut -être ça qu'il avait vu en moi, pour ça que j'étais encore en vie... j'étais malgré mon age son type. 

Il ouvrit le bouton de mon pentalon et fit glisser la braillette, mes larmes redoublèrent, et je me mis à le supplier de ne pas faire ça. 

-Mais tu l'as voulu Hayley, tu es venue me chercher, au fond de toi tu n'attends que ca, tu attends ta dose de bonne grosse bite, n'est ce pas ? Petite salope ? 

-non, non, no... 

Dans une littanie couper par mes pleurs et mes respirations saccadées je le suppliais encore et encore. 

Mon pentalon vu envoyé au loin en même temps que ma cullotte, il caressa la peau parfaitement lisse de ma chatte en souriant. 

-Oh tu joue à la gamine même par ici, et après tu me dis que ceci n'est pas ce que tu attends de moi.

Il fit glisser en moi ses doigts qui maintenant me semblait aussi froid que la glace, je n'osais plus bouger, je n'étais même pas sur que je respirais encore, ses deux doigts me détruisait bien plus psychologiquement que physiquement, mon corps sur le parquet semblait ne plus rien faire d'autre que de se laisser faire. 

Deux de ses doigts m'exploraient sans douceur, alors que son autre main maintenait ma jambe loin de sa jumelle, mes bras étaient vaguement étalés sur le sol, j'aurais du me débattre mais la peur de souffrir plus me paralysait complètement, je n'étais qu'une gamine dans le corps d'une adulte et non l'inverse... 

-Tu es tellement chaud et humide, rien que pour moi, comment ne pourrais je pas t'honnorer ? 

Ma tête se mit a bouger de droit a gauche, non, elle criait non, mes yeux fermer ne voulant pas s'ouvrir. 

-Tu sais tout me tente chez toi, et nous auront beaucoup de temps pour jouer, tester ta bouche, t'apprendre a me dire oui, et plus encore, car après tout papa et maman ne t'attendent pas pour diner, mais pour le moment je vais juste te faire mien, il faut que tu comprennes Hayley, maintenant que je t'ai, je te laisserais pas partir. 

Après ces mots qui firent cèder ma résolution à ne pas me débattre, il sortit de moi ses doigts garda mes jamabes ouvertes d'une main, alors que l'autre me maintenait plus ou moins, son pénis toucha mon antré, encore vierge, et la pénétra d'un coup sec vers l'avant. 

L'instant sembla immortel, rien ne bougeait a part son torse au rythme rapide sa respiration, mon corps s'était a nouveau immobilisé, sous la surprise cette fois et la douleur, et mes yeux grands ouverts croisèrent les siens, et je lu dans son regard d'abord la surprise, puis une joie mal saine. 

Il glissa sa main dans sa poche et y récupéra un mouchoir en tissu parfaitement plié, il sorti de moi, mais ce n'était pas fini, ce malade n'avait certainement pas fini, non il prenait juste le temps de récolté les deux petites goutes de sang qui temoignait de ma virginité perdue. 

-une vierge ... biensur... 

Il prit le temps de replier le mouchoir, alors que je tentais de me couvrir de mes mains et que mes jambes s'étaient refermer comme si cela allait me protéger. Il vit mon geste et me regarda droit dans les yeux. 

-Tututut, ouvre moi tout de suite ses cuisses de salope ou tu vas le regretter. 

Non si je le faisais la j'allais le regretter, pensais-je, mais je n'aurais pas du j'aurais du écouter la peur et faire comme il avait dit. 

Il me retourna violemment et attrapa mon bras, il le replia rapidement dans mon dos me faisant crier de douleur, il se placa entre mes jambes puis tira sur mon bras replier, me forcant a me mettre sur mes genoux, son sexe collé au mien, pour diminuer la tension dans mon bras, il fit entre son membre dans ma chatte encore endolorie de sa première visite, il entra sans aucune douceur entrant plus loin qu'il n'avait été avant, il n'attendit pas un seul instant et ressorti pour rentrer avec force et vitesse, il ne me ralacha, me forcant a me coller à lui, limite a accompagner son mouvement, j'avais mal au ventre, mal a l'interrieur mal aux genoux, mal au bras et rien ne semblait vouloir le ralentir ou l'arrêter, ni mais pleurs, ni mes suppliques, la douleur ne semblait pas diminuer, même quand son rythme diminua, en meme temps que se grognement se firent plus fort, il poussa au plus profond de moi, avant de lacher un rale, et de jouir, la au fond de mon être souiller. 

-Allez c'est fini plus la peine de pleurer comme un bébé. 

Il avait beau ne plus être en moi la douleur était encore cuisante, l'humiliation aussi et ces mots étaient la preuve que cet homme était le pire être humain sur terre sans compation. 

Il me prit dans ses bras, portée comme une princesse j'aurais voulu lui faire du mal mais j'avais a peine la force d'ouvrir et de fermer les yeux, elle ouvrit une porte, la chambre d'ami, il me déposa sur le lit, instinctivement je me roule en boule et essae de glisser loin de lui, je suis encore nue, mais lui semble plus s'y interessé, il a remit son pantalon. 

-Quand tu auras assez de force la porte la c 'est la salle de bain, n'essaye pas de sortir je refermerais la porte de la chambre, profites du calme pour te reposer. Si tu essaye de faire un truc stupide souviens toi juste de la dernière fois que tu ne m'as pas écouté. 

Sur ces mots il se leva sorti de la pièce et fit comme promis il vérrouilla la porte de ma nouvelle prison.... 

 

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*1: c' est une phrase de Hayley dans la suite du film, je l'ai retourné contre elle 

*2: pareil c'est de nouveau Hayley dans le film qui dit a Jeff qu'il est bien monté. 

A bientot pour la suite. 

 

Ps: si quelqu'un trouve que cette fanfic ressemble au Fantasme que j'écris aucun rapport, dans le fantasme la partenaire devient consentante c'est un fantasme donc on peut imaginer qu'en réalité les deux partis jouent ensembles, ici c'est une fanfic purement no-cons, donc Du viole, jamais Hayley ne sera consentante. 

Par Enaëlle - Publié dans : Fanfiction: hard candy
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