Bienvenu chez moi...

  Il était une fois dans un petit village, une maison simple, bien qu'un peu plus grande que la moyenne, où vivait un homme, et son esclave, une femelle, personne au village n'avait le droit ni l'envie de parler à cet être inférieur. 

La jeune esclave, rousse aux longs cheveux ondulé, et aux yeux bleus, ne portaient jamais de vêtements, même lorsqu'elle sortait faire une de ses taches comme prendre le linge. Au départ elle avait rendu folle de rage toutes les petites femmes du village, jalouses de sa beauté et de l'intérêt des maris pour ses courbes de prostitué. 

Mais l'homme avait rassuré chaqu'une de ses femmes en leur disant. 

"- ne soyez pas jalouse, de ça, ce n'est même pas une femme, elle n'arrive pas à la cheville du moindre animal vivant sur cette terre, elle est bien en dessous du bétail de vos hommes, et elle connait sa place, jamais elle n'oserait s'approché d'eux, elle sait qu'elle n'est pas assez bien. " 

Et l'esclave avait juste hoché la tête tout en regardant le sol. 

Il fut un temps ou certaines femmes l'enviaient encore, pas pour ca beauté cette fois, mais pour celle de l'homme qui partageait sa vie, son maître, et pour les choses coquines que ses femmes du peuples imaginaient durant leur labeur, ces femmes vivaient une vie dure, alors que cette esclave semblait ne manquer de rien, et se la couler douce, mais ça aussi ça leur avait passé... quand elles entendirent les cris de douleur pur. 

*_*_*_*_*

-Nooooon, s'il vous plait maître pas plus, pas plus. 

L'esclave suppliait, elle avait mal, elle pleurait, et depuis tellement longtemps que son visage en était rouge, ses cris rejetaient un peu de sa salive, dont des traces restaient sur son menton, les larmes glissaient les longs de son visage puis de son coup, puis suivait la courbe de ses seins, pour finir par se perdre sur son ventre rougi de marque à la limite du sanglant. 

-Combien ai je dit que tu recevrais de coup si tu faisais encore ça ! 

L'esclave pleura plus fort, sachant qu'elle avait fait une faute, sachant qu'elle était punnie pour ça, sachant combien cela valait de coup... 

-Combien ! 

-20 Maître, 20 coups. 

-Et à combien sommes nous ! Toi qui les comptes ? 

Elle pleura un peu plus fort, avant d'essayer de reprendre un peu son souffle, et contenance. 

-10 maître, nous en sommes à 10. 

-Alors pourquoi me supplies tu pour que j'arrêtes, veux tu vraiment que j'arrête maintenant, ne souhaites tu pas payer ton erreur, pour la laisser derrière toi? 

Sa voix était maintenant calme, maîtrisé. Plus effrayante que sa colère, parce que ça voulait dire qu'il pourrait vraiment arrêter. 

-Non, dit l'esclave d'une voix saccadé mais claire, non ne vous arrêtez pas maître, s'il vous plait punissez moi, merci de m'aider à me pardonner, merci d'être si bon Maître. 

-Bien alors continue en les comptant à voix haute. 

Il fit glissé sa canne le long des jambes de l'esclave attaché, ses mains suspendues au dessus de sa tête, les bras tendus, l'aidant, et l'obligeant a rester droite et debout sur ses pieds touchant le sol, le fin baton destructeur glissa le long de son dos, la faisant frissonner, puis le contact disparu, elle prit une grande inspiration, essayant de se détendre, puis il vint fort et sec, directement à l'arrière de ses cuisses, juste en dessous de ses fesses, elle cria expulsant l'air de ses poumons avant de se reprendre rapidement... 

-Onze, Merci maître. 

Sans attendre un autre coup cette fois ci sur ses fesses, rendant brulant instantanément la partie touché, elle inspire et expire bruyemment, elle essaye de se calmer, de taire sa douleur. 

-Douze, merci, merci Maître. 

Sans lui laisser de repos le treizième, suis sur le coté de sa cuisse droite, elle souffle compte, remercie, puis le quatorzième, elle crie, elle hurle, elle ne sait même plus où elle a mal, elle remercie, elle compte, elle pense a son erreur, elle s'en veut, mais pas longtemps, un nouveau coup... et finalement... 

-Vingt, elle souffle, elle n'a plus de force, merci Maître. 

L'homme dépose l'objet lentement, s'approche, et la détache, elle est tellement fatigué qu'elle se laisse aller dans ses bras, elle est fatigué mais elle est fière, elle sait qu'il lui a pardonné, et elle sait qu'elle peut se pardonner, elle ose un regard vers lui quand elle sent qu'il tient son visage d'une main douce, il veut se contacte, il est la souriant, ses yeux sont fiers, elle aussi elle l'est. 

Il la garde dans ses bras, l'enveloppant d'une fine couverture, retracant aussi délicatement qu'un courant d'air les marques que ses coups ont causés, de ses droits froids il lui fait du bien. 

Il lui chuchotte des mots, qu'elle seule peut entendre, et la elle est heureuse d'une façon que peut de gens peuvent comprendre, elle est comblé dans sa douleur. 

Elle finit par fermé les yeux dans ses bras... le reste ne compte pas, il n'y a que LUI. 

Voila, je voulais proposer autre chose pour une fois, j'espère que ça aura plus à quelqu'un, en dehors de moi. A bientot.