Jamie Bell, dans Nymphomaniac, (je suis fan de l'acteur ... )
C'est un fantasme, une histoire que j'invente, tout n'est pas ce que je désire forcément, je tiens a dire pour ceux qui penserais après ca que je voues un cul-te au viol que ce n'est pas le
cas, l'histoire du fantasme doit se lire comme des petites scènes un jeu entre un dom et sa soumise et pas comme une histoire de kiddnaping parce que sinon les réactions de la soumise serait
carrément éffrayant et synonime d'une grande maladie mentale.
Jamie Bell qui est un acteur de talent, à joué avec Channing Tatum, dans Eagle, ou "l'aigle de la neuvième légion" un film qui traite d'esclavagisme, Jamie est
l'esclave de Tatum, mais quand il passe de l'autre coté du mur d'Adrien, les rôles sont inversés, et Jamie se proclame le maître de Tatum (ce qui a mon sens est plus logique parce que le rôle de
Tatum est bien plus soumis que celui de Jamie) ... Bref Jamie Bell prenant un ascendant psychologique et physique sur Channing Tatum (Mes hormones de fanatiques yaoi/gay légèrement SM sont en
ébullition). Alors le voir tenant une cravache, c' est que du bonheur ! et combien j'avais de chance pour que cet acteur ai ce rôle là ? Pratiquement aucune x).
Bref passons au vif du sujet.
L'un de mes plus récurrents fantasmes, alors que je rentre de soirée, je remarque un groupe d'hommes assez effrayants du coin de l'oeil, et tout de suite j'ai comme une
impression de déjà vu, comme si ces hommes me suivaient, mais je continue de marché, au coin de rue suivant ils sont encore là et cette fois ci c' est évident, ils sont là pour moi, sans que je
puisse rien faire ils m'attrapent et me jettent dans leur camionnette.
Ce n'est que bien plus tard que je revois la lumière, des heures semblent être passées, je suis allongé sur un sol doux, un tapis surement, il fait chaud mais en même temps j ai froid, ce n'est
qu'en ouvrant les yeux que je comprends la sensation de froid, je suis nue, négligemment étalé sur un tapis, instinctivement avant toute chose j'essaye de me couvrir de mes mains, ce qui
déclenche un rire dans la pièce qui me fait sursauté, je n'étais pas que négligemment couché sur de la moquette, j'étais couché face à un siège, et trônant dessus un homme qui me semble immense
vu du sol, entièrement vêtu de noir, ses vêtements semblent couteux, et son rire est moqueur, je me sens tellement faible, là nue devant lui, je me trouve même un peu idiote. Je ne fais rien
d'autre que le regardé et il me le rend bien, comme si le premier qui bouge, allait déclencher quelque chose d'atroce et de grave... et vu la situation cela pourrait bien être le cas.
Comme s'il avait finit de rigoler intérieurement de moi, il bouge enfin, il tend son bras vers moi, sa main vient prendre mon visage, au niveau du menton, avec une force que je n'avais pas
soupçonné il me tire vers lui, ce qui me force à bougé tout mon corps, me mettant plus ou moins à genoux face à lui. Il me fixe droit dans les yeux et moi je n'arrive pas à détourné les miens,
pourtant je vois son sourire s'élargir. Mais qui est -il bon dieu?
Et comme s'il avait lu dans mes pensées, il me répond. Peut-être avais-je parlé ?
-Moi je suis ton maître, à partir de maintenant et pour toujours, tu es à moi.
Et comme si il avait prévu que je tente de lui dire quelque chose, sa poigne se referma plus fort sur mon menton, un doigt s'enfonçant un peu dans ma joue, ça commençait à être douloureux.
-Pas besoin de me répondre, ne parle plus, pas tant que je ne te l'ordonne pas, tu pourrais le regretter.
J'étais comme tétanisée, ce n'était que quelques mots et un regard, mais cette menace m'avait comme ligottée, il semblait tellement sur que je n'allais rien faire, que j'en étais sur moi aussi,
je me sentais tellement faible devant lui.
-N'est-ce pas mieux ainsi ? Oui.
D'une pression de la main, il me fit hoché la tête, en parlant de ma tête j'avais l'impression qu'elle était vide de toute substance comme si je n'arrivais même plus à penser. Tout ce que j'avais
en tête c'était "n'ouvre pas la bouche, chut tais toi". Il finit par me relâcher le menton, mais mon corps n'a pas bougé d'un centimètre.
Il y eut un temps de latence comme s'il attendait quelque chose de moi, je crois qu'il finit ensuite par perdre patiente, ou peut -être que cela l'avait amusé, je ne sais pas, mais une gifle
était tombé, elle n'était pas douloureuse, elle m'avait juste reconnecté à la réalité et m'avait un peu fait reculer, soudain je n'avais plus envie de le regarder droit dans les yeux.
Il n'y avait pas vraiment de raison de lui obéir, je n'avais pas à le craindre, ou peut-être que si, cette menace à demi mot et son regard, ça légère petite claque ?... Pourtant, il était certain
que j'allais lui obéir, ne fusse que parce qu'il était tellement sûr que j'allais le faire.
Je vais couper ici, dans mon fantasme romancé, il y aura à ce fantasme moult suite, car il en a eu un nombre incalculable.
Enaëlle.
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