Bienvenu chez moi...

L'art d'être ce que les humains sont... des animaux, l'art d'admettre qu'il y a un loup dominant un alpha et qu'il est tellement agréable de lui céder. (Citation de la première fanfic BDSM que j'ai lu ) 

Il y a des jours comme ça, où j'ai l'impression que cette vie est celle dont j'ai toujours rêvé, mais merde! Peut-être que certaine l'on voulu mais pas moi de base... je ne prédestinais pas à tout ça, mais je suis tellement bien maintenant, nous parlons lui et moi, il a même un prénom, je ne peux l'utilisé que dans de rare cas, il m'a présentée à des amis, des gens du milieu, en faite si on oublie le début houleux nous avons la parfaite petite vie du couple sm... euh BDSM, ne pas se trompé... je ne suis pas mal traité, plus contre ma volonté, et bien parfois je crois que j'ai toujours voulu tout ça... depuis l'épisode ou je lui ai rendu un coup nous avons pas mal parlé... maintenant je suis une salope tout ce qu'il y a de plus heureuse, et il est mon maître bien aimé et vénéré, j'ai un mot de surté, Némo, depuis que je l'ai je me sens comme libre, et en même temps plus contrainte que jamais car je sais que je lui dis oui même quand je le supplie d'arrêter, parce que je pourrais tout arrêter et que je ne le fais pas. 

J'enttends un sifflement venant d'en bas, il se fait insistant, ne sachant pas ce qui se passe je déscends, il est dans le salon devant la petite table, sur laquelle il a déposé de quoi joué, je me sens un peu exité, normal, nous n'avons pas joué depuis au moins 2jours. (ca ne parrait rien mais maintenant que j'y ai pris gout .... c'est énorme.) Il tend une main vers moi et me tapotte gentiment le haut du crane. 

-C'est qui la bonne fifille. 

Il me parle bizarement, il me regarde, je ne comprends pas tout de suite, jusqu'à ce qu'il prenne la laisse derrière lui, je comprends, et me met a quatre pattes, nous n'avons jamais joué à ça et l'inconnu me donne envie c'est dernier temps. Est-ce que je suis en train de dire que j'ai envie d'être trainé en laisse dans notre... dans sa maison, d'être encore une fois prise par surprise ou que sais-je encore?

Malgré tout ce que mon cerveau dit a mon corps, mon corps n'obéis plus qu'a Lui, ainsi je rampe vers lui, et je vois son sourire satisfait quand je lève les yeux pour voir ce que va donner la suite. C'est ce sourire que j'aimerais toujours voir affiché sur le visage de mon maître le sourire du devoir accompli, celui qui annonce plus de pervertion, et donc plus de plaisir ! Tellement plus. 

-fait la belle. 

Fait la belle ? comme un chien ? ... plutot comme une bonne chienne, ce que je suis apparemment pour le moment, je suis devenue tout ce qu'il veut que je devienne et en ce moment je suis une bonne petite chienne, qui a terriblement envie de tout ça alors qu'elle sait pertinament que c'est mal, comme les chiens et le chocolats... tient encore des chiens... 

Je me dresse donc sur mes pattes arrières, et lève les pattes avant que je place a coté de ma poitrine, je sors un peu la langue, esperant que c'est ce qu'il attend de moi. 

Cette position n'était pas des plus inconfortable qu'il m'ai fait prendre, mais elle était une des plus ridicule, des plus humiliante, et je l'avais fait, et j'avais pensé à moi même comme d'une chienne.. si j'avais une queue surement qu'elle remurait dans tous les sens... 

-good Girl. 

Si il le dit comme ça encore une fois je ne suis pas sur de retenir un petit orgasme, sa voie me disant que j'ai été une bonne fille, si seulement il pouvait tout le temps le dire, je serais toujours en extase pour lui. 

Il attache la laisse à mon collier, et tire gentiment dessus je me remets donc à quatre pates, il passe dans mon dos, mais sans tiré encore sur ma laisse, je dois resté en place ? je suppose vu qu'il ne tire pas ... que dois -je faire ? je reste la ... c'est mieux et si il veut que j'avance il n'aura cas tirer doucement, ... il n'aura cas tiré et le doucement est un petit espoir. 

-Le facteur est passé ce matin et un colis est arrivé. 

Il enfonce d'abord un de ses doigts dans mon anus, il est humide et je l'en remercie, la préparation est un moment cadeau pour moi car lui pourrait en avoir rien à faire et ne pas me l'offrir. D'ailleurs depuis que nous sommes... disons que je m'aclimate mieux, il est plus "doux", plus prévenant avec moi, il a toujours ses moment mais ce n'est plus sans cesse, je crois qu'il s'est trouvé un équilibre un peu comme moi. Alors que je monologue intérieurement sur notre relation, il enfonce en moi un plug, d'une taille que je qualifirais de résonable, pas petit mais pas enorme non plus, juste assez pour bien rester à sa place. 

-Te voila une véritable chienne. 

Dit-il en caressant ma nouvelle queue, je me retourne pour la voir, elle est totalement noir, et semble douce. 

-Essaye un peu de l'attrapé avec ta bouche. 

Tout comme une chienne, parce que j'en suis une, je cours après ma propre queue en jappant joyeusement, il ne semble pas déranger par mon débordement, celui ci m'étant venu naturellement. 

C'était une journée merveilleuse, nous avons jouer à la balle, il m'a appris à faire des tours, nous avons promené un peu dans le jardin, puis manger sur la terasse, nous avons mangé de la salade, j'ai mangé la mienne dans une belle gamelle argenté, puis il s'est installé dans une chaise longue pour se reposé, et pour moi un grand coussin. Quand je pense a tout le matériel, on pourrait croire qu'il a vraiment un chien. 

Comme je suis une chienne un peu joueuse et que j'avais un peu faim, je me suis permise de le réveiller de sa sieste, comme une bonne chienne le ferait, en lèchant, je crois qu'il a été agréablement suppris,une fois réveillé, il me prit contre la chaise longue, quand on commence quelque chose il faut le finir et bien le finir avait-il dit, puis nous avons manger. 

Le soir il partit dans sa chambre me rappelant de ne pas me coucher tard ... mais je n'avais pas vraiment envie de dormir. Je suis allez devant sa chambre, il y'avait encore un peu de lumière alors j'ai souri, je me suis mise a quatre pates et j'ai jappé. C'est mon Maître en calçon qui vint ouvrir la porte, il avait quelques mèches de travers. 

Il me regarda un instant un peu exaspéré, puis me cèda le passage, j'avançais prudemment, je n'étais encore jamais aller dans sa chambre, elle ressemblait fort à la mienne. Mais a la place d'un lit d'une personne il avait un immense lit, ou on aurait pu se mettre a 4.    

Alors que j'inspectais le milieu, il m'a prit et porté sur le lit. 

-J'aurais du commencé par là tu es une chienne insassiable. 

Fin. (de cette partie ) 

a plus tard Enaëlle.